Une autre près pour la plantation.

Ben une autre nouvelle plate bande qui est terminé près pour la plantation.

Au début l,emplacement.

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Emplacement choisi une clôture de perche a été installé.
Ensuite la forme dessiné
Le carton en place et bien arrossé.
Ensuite recouvert de terre.
Et une belle bordue qui a été installé.
Tous sa est près pour la plantation.

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Nous avons gardé la souce existante avec un vigne vierge qui cour dessus. Et qui pourras s,accrocher à la clôture.

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Et à l'autre bout un arbre Boucane qui vas rester la lui aussi.

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Je continurais les images de plantation à mesure quel avanceras.
Je devrais en faire cette semaine le temps vas être moins chaud. gnagnagna

J'en n,ai parlé je crois que dans cette plate bande y auras pas de jaune ni de orange pas de rouge vif. Du moins je vais essayer :mdr: :mdr: :mdr:

Je vous reviens avec ma liste qui est déjà presque près.

Bonne journée [/url]

WOW, j’aime beaucoup dès cet instant.

C’est beau d’avoir beaucoup d’espacement. bave

Ça va être super Jojo, j`aime beaucoup sa forme et aussi la clôture!!

Hé bin dit donc, ça chôme pas chez vous. C'est vraiment comme j'aime Jojo, belle courbe, perche et souche. Une structure à mon goût.

Tu me fais rêver avec ce beau grand terrain. J'ai hâte de voir la suite.

Merci

Coudonc Jojo!! Vous êtes rendu à combien de nouvelles plate-bandes cet été??? :-oo :-oo

Magnifique le tout! Ai-je rêvé ou tu as dit que peut-être vous venderiez la maison éventuellement?? Commence à penser que c'est beau chez vous moi...et pas mal dans mes goûts.... :mrgreen: :mrgreen:


combien de chambres?? :mdr:

J' ai hâte de voir quoi elle va planter dans celle-là
Et j'aimerais voir des photos de ta plate-bande canoe. MErci d'avance bave

J'appuie Franie, je flash sur ta clôture aussi Ta plate-bande tu vas la mettre en plantation quand ?

Bonjour Jojo,
j'aimerais juste partager cet article de Pierre Gingra concernant la Fallopia japonica . Tiré du site: [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Fallopia japonica, calamité végétale
Pierre Gingras, La Presse

Son allure est anodine. Certains la trouvent même jolie. Elle a d'ailleurs réussi à séduire des centaines de milliers de propriétaires en Europe et en Amérique du Nord.


Au Québec, elle brave le froid sans difficulté et dans l'île de Montréal, par exemple, elle pousse dans de nombreux petits terrains. Plusieurs l'apprécient encore. Son nom familier de bambou japonais ou encore de bambou mexicain lui donne une apparente innocence qui lui permet souvent de se faire oublier, du moins chez nous.

Et pourtant, il s'agit d'une véritable calamité, un drame horticole dont on ne voit pas la fin, notamment dans plusieurs régions d'Europe. En Angleterre, où il fut même honoré comme plante décorative à la suite de son introduction en 1835, le bambou japonais est devenu l'ennemi public végétal numéro un. Imaginez, un groupe a même été mis sur pied pour informer les gens sur ses méfaits et empêcher sa propagation, la Japanese Knotweed Alliance (du nom de la plante en anglais), qui a d'ailleurs conçu un site Internet fort bien fait sur le sujet.

Rien de tel ici, évidemment. À vrai dire, en terre québécoise, le caractère épouvantable du bambou japonais ou de la renouée japonaise, selon son appellation correcte en français, a été mis en lumière, il y a quelques mois à peine et plus particulièrement à la mi-janvier, lors du colloque annuel du Centre de recherche en aménagement de l'Université Laval.

Dans la présentation de son travail de fin de bac en géographie, Marie-Claire LeBlanc a fait part d'une découverte intéressante: la plante est non seulement envahissante, ce qui était connu depuis longtemps, mais à Québec même, un endroit où les hivers sont rigoureux, elle a envahi plusieurs coteaux, sur des dizaines de mètres carrés, notamment sur la pente des plaines d'Abraham. Et là où elle s'est installée, elle règne en maître et domine entièrement le terrain. Les tiges sont si serrées que rien d'autre ne peut pousser. Dur coup pour la diversité végétale.

Pour Marie-Claire LeBlanc, comme pour son professeur Claude Lavoie, expert de l'Université Laval dans le domaine des plantes envahissantes, la présence et l'adaptation de la renouée japonaise au milieu naturel québécois doivent nous inciter à surveiller son évolution et faire preuve d'une grande prudence si on veut s'en débarrasser. Une tâche ardue, comme il a été mentionné à maintes reprises dans cette page. Comme on ne lui connaît pas d'ennemi naturel chez nous, elle pourrait progresser considérablement. Mme LeBlanc a d'ailleurs trouvé quelques petites colonies établies sur la rive du Saint-Laurent, à deux pas de la Vieille Capitale.

Aucune comparaison avec l'Angleterre, où des dizaines de milliers d'hectares sont déjà sous l'emprise totale de la renouée comme ailleurs dans les îles britanniques, des terres condamnées. La plante est aussi présente un peu partout en Europe continentale, du sud de la France et du nord de l'Italie jusqu'en Norvège. En France, elle a envahi les rives de plusieurs cours d'eau formant souvent une barrière infranchissable qui en réduit l'accès, affectant aussi digues et barrages. La plante est aussi présente dans de nombreux États américains, notamment la côte Ouest, et un peu partout au Canada. Même la Nouvelle-Zélande doit aujourd'hui composer avec sa présence.

Selon la Japanese Knotweed Alliance, la plante cause notamment des dommages aux sites archéologiques et aux digues, réduit l'accès aux rives des cours d'eau, perce les chaussées en bitume, s'implante dans les anfractuosités du béton, augmente les risques d'inondation en raison des tiges mortes flottant sur l'eau l'hiver et au printemps, réduit la biodiversité et affecte sérieusement la valeur des terres sous son emprise. Quant à son éradication, il est presque hors de prix si on utilise les moyens conventionnels comme les herbicides.

Une régénération phénoménale

Elle est originaire du Japon, de Chine, de Taiwan et de Corée, mais c'est toutefois du Japon que provenaient les spécimens exportés en Europe. En Asie, elle était utilisée comme plante médicinale et on mangeait les nouvelles pousses. Son appellation scientifique de Fallopia japonica lui a été attribuée en l'honneur de Gabriele Fallopi, chirurgien et anatomiste italien à qui l'on doit de nombreuses découvertes médicales, dont les trompes de Fallope. Le terme latin a d'ailleurs changé à maintes reprises au cours des dernières années, si bien qu'il est encore difficile de s'y retrouver dans plusieurs ouvrages d'horticulture.

La renouée japonaise produit des tiges rougeâtres ou brunâtres et segmentées d'où son nom de bambou, tiges qui peuvent atteindre trois mètres de hauteur dans la région de Montréal au cours de l'été. Ses feuilles d'un vert foncé et ses fleurs blanchâtres apparaissent en fin de saison, de la fin d'août à la fin de septembre. En Europe et en Amérique du Nord, elle ne produit pas de graines et ne peut donc se reproduire par semis. En réalité, il s'agit d'une plante dioïque (la plante est exclusivement mâle ou femelle). Le plus étonnant, c'est que toutes les plantes d'Europe et d'Amérique sont femelles. Elles forment un seul et même clone.

Mais la renouée n'a guère besoin de ses fleurs pour se reproduire, ses rhizomes lui suffisent amplement. Leur pouvoir régénérateur est phénoménal. C'est ce qui explique d'ailleurs qu'il est presque impossible de s'en défaire lorsqu'elle est établie. Ses racines atteignent les deux mètres de profondeur et peuvent s'étendre, pour un seul plant, sur sept mètres. Or, si on peut éliminer la plante en la déterrant, il faut avoir à l'esprit qu'une seule petite partie de rhizome oubliée dans le sol, ce qui semble inévitable, formera tôt ou tard une nouvelle colonie. Ici, le mot petit correspond à 0,7 gramme. Plus encore, des bouts de tige vont rapidement former des racines si elles sont enterrées. Dans l'eau, une tige nue deviendra une plante viable en six jours. Plus encore, indique Marie-Claire LeBlanc, une racine dans le sol peut rester en dormance pendant 10 ans avant de germer à nouveau.

Voilà qui explique pourquoi de nombreux jardiniers n'ont jamais réussi à mettre un terme à leur mariage avec la renouée et cela après des années d'efforts, à moins d'utiliser de grandes quantité d'herbicides durant plusieurs années, au risque d'empoisonner tout le monde aux alentours. En déterrant régulièrement les racines -un travail fastidieux-, on peut toutefois contrôler l'invasion en prenant soin de les détruire pour éviter leur propagation ailleurs. Jusqu'à maintenant, les herbicides chimiques semblent être la seule solution pour éliminer la plante, une solution souvent impossible à appliquer en raison des problèmes de contamination de l'environnement. Plus encore, certaines expériences semblent démonter aujourd'hui que ces traitements ne font que provoquer la dormance des racines.

Plusieurs travaux sont actuellement en cours en Angleterre afin d'étudier les possibilités de la lutte biologique. Un champignon provoquant une rouille, un puceron japonais et deux autres insectes semblent prometteurs. On sait cependant que la bataille ne permettra pas d'éradiquer totalement la plante, mais seulement de contrôler sa population.

Décourageant, n'est-ce pas ! Car même si la lutte biologique s'avérait efficace, il y a fort à parier qu'elle ne pourra être appliquée sur une base domestique, du moins pas avant des années après le début de son utilisation commerciale, et Dieu sait à quel coût. Reste à éviter que les bambous ne sortent de l'endroit où ils sont confinés et souhaiter que les colonies sauvages actuelles ne prennent pas trop d'ampleur. Bel optimisme !

Bersimis... Ouin Ouin

Je suis au prise avec celle de mon voisin qui court partout...elle pousse même dans mon cabanon, et au travers d'une épaisse membrane géotextille noire avec des pierres concassé par-dessus, installation de mon autre voisin...une vraie calamité!!

Et il m'arrive souvent d'imaginer qu'elle s'en va tout droit vers mes plates-bandes...pareille grosse tige...on est loin de la petite plante envahissante que l'on peut tirer dessus ou creuser pour enlever... Ouin Ouin Ouin Ouin Ouin

Pobre de tì alegria - Pauvre de toi, Joie.