Motivation de la semaine du 26 nov 2007
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Motivation de la semaine du 26 nov 2007
Vivez selon votre cœur
Si les gens sont aujourd’hui si grognons et si ombrageux, c’est souvent qu’ils n’ont pas réussi à vivre selon leur cœur. Ils s’enfoncent dans les ornières de la routine faute de mieux, ou par mimétisme, ce panurgisme leur semblant la solution la plus sage. Beaucoup choisissent ainsi d’embrasser une carrière pour des raisons « extérieures », parce que leurs parents les y destinaient, ou par volonté d’acquérir un statut social. On voit aussi des parents choisir les activités de loisir de leurs enfants, ou bien leurs vêtements, par simple conformité à la mode. D’autres encore se saignent aux quatre veines pour acheter une maison au lieu de louer un appartement, parce qu’on leur a mis dans le crâne que c’était là l’apothéose de la réussite sociale. Et combien vivent au-dessus de leurs moyens dans le seul but d’épater les voisins?
Vivre selon son cœur, c’est au contraire opter pour un mode de vie qui vous corresponde en profondeur, à vous comme à votre famille. Cela signifie qu’au moment de prendre une décision importante, vous veillez à ce qu’elle soit en accord avec vos valeurs personnelles, et pas nécessairement avec celles de votre entourage. Vivre selon son cœur, c’est faire confiance à son instinct plus qu’aux pressions exercées par la publicité, par la pensée unique ou même par vos proches.
Inutile toutefois de vous transformer en rebelle! Il ne s’agit pas d’enfreindre par principe une tradition familiale ou de devenir différent de tout le monde. C’est beaucoup plus subtil que cela. Vivre selon son cœur, c’est écouter cette petite voix qui se fait entendre en vous quand vous êtes suffisamment détendu pour lui prêter l’oreille. Cette voix qui s’exprime au nom de la sagesse et du bon sens, en refusant les lieux communs comme les longs discours. Quand vous vous fiez davantage à votre cœur qu’aux usages, des idées nouvelles jaillissent dans votre esprit. L’éventail est infini : vous pouvez soudain décider de changer de ville, ou de rompre avec telle mauvaise habitude, jugée destructrice. Vous trouvez tout à coup un moyen de communiquer sur un mode plus fécond avec un être cher. Vous pouvez aussi avoir des sortes de révélations : sur les personnes que vous souhaiteriez voir plus assidûment, comme sur certaines solutions à des problèmes en cours. Mais il faut commencer par écouter son cœur.
S’y refuser crée un violent conflit intérieur, qui vous rend soupe au lait, « à cran ». Au fond de vous-même, vous savez ce qui vous convient, quel genre de vie vous voulez mener et quel milieu vous avez envie de fréquenter. Si vos actes sont en rupture avec cette sagesse intérieure, vous vous sentirez frustré et stressé. A contrario, en apprenant à suivre votre cœur, vous chasserez progressivement cette mauvaise humeur, vous deviendrez plus calme, plus heureux. Vous vivrez votre vie, au lieu de copier celle de monsieur ou madame Tout-le-Monde.
Pour mieux suivre les inclinations de son cœur, il faut d’abord en avoir la volonté. Posez-vous cette question : « Quelle vie ai-je vraiment envie de mener?» « Est-ce que je trace ma propre route ou bien est-ce que j’agis par habitude, ou pour répondre aux espoirs placés en moi par d’autres personnes? » Puis détendez-vous et soyez à l’écoute. Plutôt que de fournir à tout prix des réponses, laissez-les venir à vous, comme surgies du néant.
Si vous souhaitez réellement devenir une personne plus sereine, voilà un bon moyen de démarrer. Tant il est vrai qu’obéir à son cœur est un des fondements de la paix intérieure et de l’épanouissement personnel. Essayez. Vous serez surpris et comblé par les découvertes qui vous attendent.
(Source : Michel Lafond (1998). Ne vous noyez pas dans un verre d’eau 2, Montréal : Éditions internationales Alain Stanké, pages 44-46.)
Combien de poids avez-vous éliminé en 2007?
Si les gens sont aujourd’hui si grognons et si ombrageux, c’est souvent qu’ils n’ont pas réussi à vivre selon leur cœur. Ils s’enfoncent dans les ornières de la routine faute de mieux, ou par mimétisme, ce panurgisme leur semblant la solution la plus sage. Beaucoup choisissent ainsi d’embrasser une carrière pour des raisons « extérieures », parce que leurs parents les y destinaient, ou par volonté d’acquérir un statut social. On voit aussi des parents choisir les activités de loisir de leurs enfants, ou bien leurs vêtements, par simple conformité à la mode. D’autres encore se saignent aux quatre veines pour acheter une maison au lieu de louer un appartement, parce qu’on leur a mis dans le crâne que c’était là l’apothéose de la réussite sociale. Et combien vivent au-dessus de leurs moyens dans le seul but d’épater les voisins?
Vivre selon son cœur, c’est au contraire opter pour un mode de vie qui vous corresponde en profondeur, à vous comme à votre famille. Cela signifie qu’au moment de prendre une décision importante, vous veillez à ce qu’elle soit en accord avec vos valeurs personnelles, et pas nécessairement avec celles de votre entourage. Vivre selon son cœur, c’est faire confiance à son instinct plus qu’aux pressions exercées par la publicité, par la pensée unique ou même par vos proches.
Inutile toutefois de vous transformer en rebelle! Il ne s’agit pas d’enfreindre par principe une tradition familiale ou de devenir différent de tout le monde. C’est beaucoup plus subtil que cela. Vivre selon son cœur, c’est écouter cette petite voix qui se fait entendre en vous quand vous êtes suffisamment détendu pour lui prêter l’oreille. Cette voix qui s’exprime au nom de la sagesse et du bon sens, en refusant les lieux communs comme les longs discours. Quand vous vous fiez davantage à votre cœur qu’aux usages, des idées nouvelles jaillissent dans votre esprit. L’éventail est infini : vous pouvez soudain décider de changer de ville, ou de rompre avec telle mauvaise habitude, jugée destructrice. Vous trouvez tout à coup un moyen de communiquer sur un mode plus fécond avec un être cher. Vous pouvez aussi avoir des sortes de révélations : sur les personnes que vous souhaiteriez voir plus assidûment, comme sur certaines solutions à des problèmes en cours. Mais il faut commencer par écouter son cœur.
S’y refuser crée un violent conflit intérieur, qui vous rend soupe au lait, « à cran ». Au fond de vous-même, vous savez ce qui vous convient, quel genre de vie vous voulez mener et quel milieu vous avez envie de fréquenter. Si vos actes sont en rupture avec cette sagesse intérieure, vous vous sentirez frustré et stressé. A contrario, en apprenant à suivre votre cœur, vous chasserez progressivement cette mauvaise humeur, vous deviendrez plus calme, plus heureux. Vous vivrez votre vie, au lieu de copier celle de monsieur ou madame Tout-le-Monde.
Pour mieux suivre les inclinations de son cœur, il faut d’abord en avoir la volonté. Posez-vous cette question : « Quelle vie ai-je vraiment envie de mener?» « Est-ce que je trace ma propre route ou bien est-ce que j’agis par habitude, ou pour répondre aux espoirs placés en moi par d’autres personnes? » Puis détendez-vous et soyez à l’écoute. Plutôt que de fournir à tout prix des réponses, laissez-les venir à vous, comme surgies du néant.
Si vous souhaitez réellement devenir une personne plus sereine, voilà un bon moyen de démarrer. Tant il est vrai qu’obéir à son cœur est un des fondements de la paix intérieure et de l’épanouissement personnel. Essayez. Vous serez surpris et comblé par les découvertes qui vous attendent.
(Source : Michel Lafond (1998). Ne vous noyez pas dans un verre d’eau 2, Montréal : Éditions internationales Alain Stanké, pages 44-46.)
Combien de poids avez-vous éliminé en 2007?
Digitale- Collaborateur d'Or
- Nombre de messages : 6745
Ville et zone : Windsor zone 4b
Date d'inscription : 01/08/2005
Re: Motivation de la semaine du 26 nov 2007
Pour mon cas, zéro ....
Quand je finis mon chiffre dans la cuisine des Soeurs je ne suis plu capable de me pencher, Alors cela commence à me travailler. Mais je dois vivre aussi comme une soupe au lait que je suis. On me le dit depuis des années surtout dans mon milieu du travail. Je pense que je dois réfléchir avant de parler pour ne pas commettre d'imper dans mon langage ou de laisser les émotions contrôler ma parole. Il y a des jours où je me pose trop de questions.
Quand je finis mon chiffre dans la cuisine des Soeurs je ne suis plu capable de me pencher, Alors cela commence à me travailler. Mais je dois vivre aussi comme une soupe au lait que je suis. On me le dit depuis des années surtout dans mon milieu du travail. Je pense que je dois réfléchir avant de parler pour ne pas commettre d'imper dans mon langage ou de laisser les émotions contrôler ma parole. Il y a des jours où je me pose trop de questions.
Re: Motivation de la semaine du 26 nov 2007
N@ncy, tu m'a fait bien rire quand nous avons commencer nos rénovations de la ferme,j'avais beaucoup de soumissions à faire faire.Mon chum m'a dit tu devrais te tourner la langue 7 fois avant de parle je lui ai dit dans ce cas enlevé-moi le souffle.Si je ne suis pas capable de dire ce que je pense en ce moment même je ne vaut pas cher la tonne.
Reste comme tu es... naturelle est spontané...j'aime les gens sans flou flou et directe moi
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Date d'inscription : 01/08/2005
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